un retraité qui prend le temps d'écouter et d'analyser tout ce qui fait notre quotidien... qui prend aussi le temps d'écrire... qui adore chiner... et qui adore les gravures anciennes... Un retraité qui aime vous transmettre ce qu'il aime, au hasard de ses souvenirs et de ses découvertes. Musique, cinéma, théâtre, arts plastiques, cuisine, littérature, voyages, tourisme, histoire, humour etc...
Publié le 8 Janvier 2021 par ANDRE dans BANDE DESSINEE, CINEMA, CULTURE, LOISIRS
Publié le 8 Janvier 2021 par ANDRE dans ACTUALITES, BANDE DESSINEE, CINEMA, CULTURE, LOISIRS
Publié le 4 Janvier 2021 par ANDRE dans BANDE DESSINEE, CULTURE, CINEMA, LOISIRS, SOUVENIR
L’homme qui aimait les films.
Paris, 31 janvier 1981, 6e cérémonie des César. François Truffaut rafle la quasi-totalité des trophées de la soirée pour son chef-d’œuvre Le Dernier métro. Comme un symbole, le film qui se déroule pendant l’Occupation renvoie à cette période tourmentée pendant laquelle le jeune Truffaut s’est justement pris de passion pour le cinéma, passion qui le fera progressivement entrer dans ce monde... Protégé d’Henri Langlois puis secrétaire particulier d’André Bazin, il entre en effet dès le début des années 1950 comme critique aux Cahiers du cinéma où ses textes pamphlétaires font grand bruit. C’est ici, aux côtés de Claude Chabrol, Jacques Rivette, Jacques Demy, Éric Rohmer et Jean-Luc Godard, qu’il lancera la Nouvelle Vague, ce genre cinématographique français par excellence qui continue de faire rêver les cinéastes du monde entier.
Après Lino Ventura, Sergio Leone et Alfred Hitchcock, la collection « 9 ½ » se consacre un autre monstre du cinéma français et international, l’un des seuls à avoir à ce point concilié succès critique et public durant toute sa carrière. L’histoire d’un homme qui aimait le cinéma... et les femmes.
Paris, Palais des Congrès, 1981. François Truffaut est récompensé par le César du meilleur réalisateur pour Le dernier métro, après avoir obtenu ceux de la musique, de la photo, des décors, du scénario, du son, du montage. Les César du meilleur acteur (Gérard Depardieu), meilleure actrice (Catherine Deneuve) et du meilleur film viennent clôturer cette véritable razzia, laissant des miettes aux autres nommés. 10 statuettes au total, un record ! C'est une rafle, pas étonnant pour un film sur l'occupation allemande. François Truffaut fête son triomphe au Fouquet's comme cela est le cas à la fin de chaque cérémonie des Césars. Quelques heures plus tard, en sortant du célèbre restaurant, le réalisateur demande à son taxi de passer devant la Tour Eiffel. Il se souvient... Février 1941, enfant, quand il était allé voir Paradis perdu d'Abel Gance avec sa tante Yvonne, dans un Paris occupé par l'armée allemande. Le film fini, le jeune François pleure, touché par l'histoire du long-métrage et ne peut s'empêcher, en rentrant chez lui, de prendre un livre...
Aux côtés d'Alain Resnais, Jean-Luc Godard, Claude Chabrol, Agnès Varda et Louis malle entre autres, François Truffaut figure parmi les plus grands réalisateurs de la Nouvelle-Vague, un mouvement qui a révolutionné le 9ème art en France et dans le Monde. Ses films (Les 400 coups, Jules et Jim, La Nuit américaine, La mariée était en noir, Fahrenheit 451, L'homme qui aimait les femmes, Le dernier Métro, La Femme d'à côté...) ont marqué les esprits des cinéphiles. Il est aussi l'auteur d'un livre magnifique Truffaut/Hitchcock, véritable bible des étudiants de cinéma. Noël Simsolo conte la vie d'un homme qui a commencé sa carrière comme critique aux Cahiers du Cinéma avant de basculer de l'autre côté de la caméra. Marqué par les femmes, il n'a pas manqué de les porter sur grand écran, dont « les jambes sont des compas qui arpentent le globe terrestre en tout sens, lui donnant son équilibre et son harmonie ». La biographie peut sembler par moment, difficile à suivre, tant les flashbacks sont incessants. Les dessins de Marek en ligne claire ajoute une dimension élégante à cette biographie, agrémentant ses planches de scènes d'anthologie des films de Truffaut dans un format cinémascope. Une fois la dernière page lue, on ne peut qu'avoir envie de se laisser emporter par une rétrospective des œuvres de cet homme qui aimait vraiment les femmes...
Publié le 23 Novembre 2020 par ANDRE dans ARTSPLASTIQUES, BANDE DESSINEE, CULTURE, LOISIRS, LIVRES
Publié le 21 Novembre 2020 par ANDRE dans BANDE DESSINEE, ARTSPLASTIQUES, CULTURE, LOISIRS
" Les Plus Belles Filles de la BD érotique " : sexe et beauté !
Appelées pudiquement les filles de papier lors de leurs premières apparitions à l'orée des années 1960, les héroïnes dénudées, de plus en plus impudiques, n'en finissent plus de peupler le...
Public averti (Erotique, hyper violence)
Quand la bande dessinée devient un plaisir... coupable. Érotiques, sensuelles ou cathartiques, découvrez nos œuvres réservées à un public averti et leurs grands auteurs : Milo Manara, Tanino...
https://www.glenat.com/bd/public-averti-erotique-hyper-violence
14 BD érotiques à lire absolument sous la couette !
Pourquoi ne pas lire des BD érotiques pour pimenter votre vie de couple ? Ou pour votre petit plaisir personnel ? Il en existe de toutes sortes : des BD historiques, des BD sadomasochistes, des BD...
https://www.cosmopolitan.fr/les-meilleures-bd-erotiques-a-lire-en-couple-ou-seule,1995128.asp
Publié le 24 Septembre 2020 par ANDRE dans ACTUALITES, BANDE DESSINEE, CULTURE, LECTURE, LIVRES
Alors que Lambil travaille au tome 64 des Tuniques bleues (qui sera le dernier scénarisé par Cauvin), le journal Spirou vous propose de déjà découvrir le tome 65, avec pour auteurs Jose Luis Munuera et le duo BeKa.
Chaaaargeeeeez ! C'est une exclusivité !
Publié le 18/09/2020
Dans Spirou vous avez découvert "L'envoyé spécial", le tome 65 des Tuniques bleues, et vous voulez en savoir encore plus sur cet album réalisé par Munuera et le duo BeKa ? Ça se passe juste en dessous !
Jose Luis, parmi les "marques de fabrique" de Lambil, il y a le dessin des chevaux... A-t-il été simple de t'y atteler ?
Munuera : Dessiner le cheval et son cavalier, avec ce que ça implique de variétés de mouvements, est un pur plaisir. La représentation des chevaux fait partie des codes les plus notables de la BD humoristique franco-belge. Un cheval "franco-belge" n'a rien à voir avec un cheval de comics ou de mangas ! C'est Morris qui a jeté les bases de cette représentation (ce n'est pas moi qui le dit, mais Uderzo !). Peyo, Mazel ou encore Sandron, puis Salvérius et Lambil, ont prolongé la tradition.
Quelles sont les particularités des chevaux "made in Lambil" ?
Munuera : Le cheval, chez Lambil, a un long cou, un visage tendre, un grand poitrail, des pattes fines et une élégante banane sur la tête en guise de crinière. Je l'ai beaucoup analysé, en y ajoutant de subtiles variations à la Munu... Mais je voudrais tellement être capable de donner à mes chevaux toute la grâce de ceux de Maître Lambil !
A-t-il été simple, pour les scénaristes, de se mettre dans la peau de Cauvin ?
BeKa : Les Tuniques bleues sont devenus un "buddy movie", c'est-à-dire une histoire basée sur un duo de personnages aux caractères opposés, mais contraints de coopérer. Dans les BD de l'époque, les héros étaient plutôt complémentaires, comme Spirou et Fantasio ! Le buddy movie étant un genre que nous n'avions jamais abordé, il y avait une mise en difficulté intéressante. Munuera et nous voulions bien sûr rester dans l'esprit de la série, mais sans pour autant chercher à singer Cauvin. C'est cette articulation qui a été difficile à trouver. Nous avons relu pas mal de vieux Tuniques bleues sans toutefois nous y référer systématiquement lors de l'écriture. Nous voulions rester sur un ressenti plutôt qu'une structure précise, qui restera la marque de Cauvin.
Quels sont vos Tuniques bleues préférés ?
Munuera : J'ai découvert Les Tuniques bleues dans la version espagnole du journal Spirou, Spirou Ardilla (ce qui veut dire "Spirou-écureuil"), ils n'avaient pas cherché loin ! Il y avait également quelques albums souples publiés en Espagne, à l'époque. Mon premier souvenir c'est "Du nord au sud" et "Les déserteurs". Mais mes préférés, ce sont "Rumberley" et "La prison de Robertsonville".
BeKa (Bertrand) : Les Tuniques bleues est une série que j'ai beaucoup lu, enfant. Elle m'emportait dans un univers dans lequel il était possible de s'imaginer vivre des aventures aux côtés des deux héros. On pouvait "jouer" à être Blutch et Chesterfield... Un album préféré ? Peut-être "Black Face", autant pour l'histoire de Cauvin que pour les dessins de Lambil !
Les Tuniques bleues, tome 65, "L'envoyé spécial" - disponible en librairie le 30 octobre.
Publié le 23 Septembre 2020 par ANDRE dans BANDE DESSINEE, ARTS PLASTIQUES, CULTURE, LOISIRS
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ed. L'Isola Trovata 1981 |
ed. L'Isola Trovata 1982 |
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ed. L'Isola Trovata 1982 |
ed. L'Isola Trovata 1985 |
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ed. Milano Libri 1986 |
ed. Glamour Int. 1986 |
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ed. Comic Art 1989 |
ed. Grifo 1989 |
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ed. Comic Art 1990 |
ed. Glamour Int. 1990 |
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ed. Grifo 1991 |
ed. Lizard 1997 |
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ed. Lizard 1998 |
ed. Lizard 1999 |
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ed. Lizard 1999 |
ed. Lizard 1999 |
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ed. Lizard 1999 |
ed. Lizard 2000 |
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ed. Lizard 2000 |
ed. Lizard 2001 |
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ed. Lizard 2002 |
ed. Lizard 2003 |
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La Repubblica 2003 |
ed. Lizard 2004 |
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ed. Di 2005 |
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ed. Di 2006 |
L'espresso 2006 |
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L'espresso 2006 |
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ed. Lizard 2006 |
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ed. Di 2007 |
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ed. Lizard 2008 |
ed. Di 2009 |
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ed. Mondatori 2009 |
ed. Rizzoli 2009 |
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ed. Di 2010 |
ed. Rizzoli 2011 |
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Corriere della sera 2013 |
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ed. Di 2016 |
ed. Rizzoli 2016 |
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Corriere dello sport 2016 |
ed. Rizzoli 2018 |
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ed. Glénat 1981 |
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ed. Glénat 1982 |
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ed. Glénat 1987 |
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ed. Casterman 1991 |
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ed. Glénat 1999 |
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ed. Glénat 1999 |
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ed. Mosquito 2001 |
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ed. BD Must 2002 |
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ed. Glénat 2008 |
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Publié le 23 Septembre 2020 par ANDRE dans BANDE DESSINEE, ARTS PLASTIQUES, ACTUALITES, CULTURE
États-Unis, 1896. Dans une petite ville du Colorado, on s’apprête à juger un homme soupçonné d’enlèvements d’enfants, Buck MacFly. Mais le procès tourne court. Une femme venue en ville assister au jugement avec son fils adolescent Sean, la veuve MacKinley, fait évader MacFly, persuadée qu’il possède des informations sur sa fille Abby dont elle est sans nouvelles depuis sa disparition soudaine il y a six ans. Cette mère éplorée se pense suffisamment forte pour contraindre ensuite son prisonnier à la conduire jusqu’à Abby – où qu’elle se trouve. Mais ce n’est pas si simple. Tandis que le shérif alcoolique Cassidy organise la traque pour retrouver les fuyards, MacFly, de plus en plus cynique et inquiétant au fil de l’échappée dans la montagne et le blizzard, révèle à Sean et à sa mère qu’il connaissait bien leur père et époux George MacKinley, mort quelques années auparavant à la bataille de Wounded Knee. Pièges, faux-semblants, coups de théâtre : rien ni personne, dans cette histoire âpre et violente, ne semble finalement conforme à ce qu’il semblait être…
CHRISTIAN DE METTER / DESSINATEUR BD / A LA GALERNE AU HAVRE - BIEN LE BONJOUR D'ANDRE
CHRISTIAN DE METTER 1968 : Naissance, le 8 décembre, dans la région parisienne. Après un bac scientifique, Christian de Metter entre dans une école de pub. Ne se sentant pas l'âme d'un publici...
Publié le 23 Septembre 2020 par ANDRE dans ARTS PLASTIQUES, BANDE DESSINEE, CULTURE
Dans ce récit d’anticipation, Peeters et Schuiten livrent une réflexion pertinente sur le rôle et l’évolution de la ville, magnifiée par des planches en couleur directe particulièrement évocatrices.
La rencontre avec Benoît Peeters et François Schuiten débutera exceptionnellement à 16h30 et sera suivie de signatures.
François Schuiten est né à Bruxelles le 26 avril 1956 dans une famille d'architectes. Il n'a que 16 ans lorsque ses planches sont publiées pour la première fois : "Mutation", une histoire courte entièrement dessinée au bic, paraît dans l'édition belge de Pilote. À l'atelier bande dessinée de l'Institut Saint-Luc, il rencontre Claude Renard avec qui il réalisera deux albums: Aux médianes de Cymbiola et Le Rail, regroupés sous le titre Métamorphoses paru chez Casterman. Avec son frère Luc, il élabore au fil des ans le cycle des "Terres creuses" dans Métal Hurlant. Trois albums sont parus à ce jour :
Carapaces, Zara et Nogegon, bientôt réédités chez Casterman.
Depuis 1982, il travaille avec son ami d'enfance Benoît Peeters à la série "Les Cités obscures", publiant successivement Les murailles de Samaris, La fièvre d'Urbicande,
L'Archiviste, La Tour,
La route d'Armilia, Brüsel, l'Echo des Cités,
L'Enfant penchée, Le Guide des Cités, L’ombre d’un homme et La Frontière invisible ainsi que The Book of Schuiten et Les Portes du Possible (tous aux éditions Casterman). Ces albums ont été traduits dans une dizaine de langues et ont obtenu de nombreuses récompenses. François Schuiten a également dessiné d'innombrables affiches, illustrations, sérigraphies et lithographies. Il a réalisé une dizaine de timbres pour la poste belge. Il a collaboré à la conception graphique de plusieurs films, dont Taxandria de Raoul Servais, et est coauteur d'une série en animation de synthèse, Les Quarxs de Maurice Benayoun. Avec Benoît Peeters, il est le co-scénariste de deux documentaires-fiction : Le Dossier B et L'Affaire Desombres. Parallèlement, il a scénographié l’opéra de Rossini, La Cenerentola, présenté à La Monnaie à Bruxelles ainsi qu’à l’Opéra de Lyon. Il a réalisé de très nombreuses scénographies, dont la Ville imaginaire (Cités-Ciné Montréal), Le Musée des Ombres (présenté successivement) à Angoulême, Sierre, Bruxelles et à Paris) ainsi que le Pavillon du Grand-Duché de Luxembourg à l'Exposition Universelle de Séville. Il est également le responsable de deux stations de métro : Porte de Hal à Bruxelles, et Arts et Métiers à Paris. Il fut le concepteur du gigantesque Pavillon des Utopies (A planet of visions) qui a accueilli cinq millions de visiteurs à l’Exposition Universelle d’Hanovre en l'an 2000, ainsi que du pavillon belge à l'Exposition de Aïchi 2005. Il a aussi réalisé la scénographie de l’exposition-spectacle Le Transsibérien, présentée à Bruxelles au Musée du Cinquantenaire dans le cadre d’Europalia Russie. Avec Benoît Peeters, il s'est occupé à Bruxelles de la restauration et de l'aménagement scénographique de la Maison Autrique, premier édifice Art Nouveau du grand architecte Victor Horta. François Schuiten a obtenu en janvier 2002 le grand Prix d’Angoulême, la plus haute distinction européenne du domaine. Actuellement, il travaille à la conception graphique de plusieurs films dont le prochain de Jaco Vandormael « Mr Nobody » pour 2009, et au scénario, avec Benoît Sokal, d’un film en animation de synthèse, « Aquarica » qu’ils réaliseront ensemble. Il travaille aussi sur l’univers d’un spectacle itinérant de chevaux autour des performances de Mario Luraschi.
Publié le 23 Septembre 2020 par ANDRE dans ARTS PLASTIQUES, BANDE DESSINEE, CULTURE
FILLES-SEXY-DE-GIBRAT suivez ce lien pour voir toutes les filles sexy imaginées par Jean-Pierre Gibrat
Ce dessinateur de génie nous a dit en conférence de presse que les femmes pouvaient être belles autrement, mais pour le moment, il n'a pas encore trouvé la façon de les dessiner. Mais on ne lui en veut pas, on se contente de ses jolies brunes aux yeux clairs qui illuminent tous ses albums.