un retraité qui prend le temps d'écouter et d'analyser tout ce qui fait notre quotidien...
qui prend aussi le temps d'écrire...
qui adore chiner...
et qui adore les gravures anciennes...
Un retraité qui aime vous transmettre ce qu'il aime, au hasard de ses souvenirs et de ses découvertes.
Musique, cinéma, théâtre, arts plastiques, cuisine, littérature, voyages, tourisme, histoire, humour etc...
Les vedettes de Perros Guirec vous permettent d'effectuer une croisière innoubliable dans le monde des oiseaux, et plus particulièrement auprès des 25.000 couples
de Fous de Bassan qui entretiennent leurs nids d'année en année.
Les us et coutumes de ces oiseaux de grande envergure:
Adultes : grands oiseaux de mer au corps blanc, bout des ailes noir et tête
jaune. Bec gris, pattes noires. La coloration jaune peut s'atténuer en période inter-nuptiale. Pas de critère d'identification fiable entre mâles et
femelles.
Sub-adultes : quelques rémiges et rectrices noires. Immatures et juvéniles: les fous de Bassan ont un plumage évoluant
énormément durant leurs premières années. Le juvénile est noir, légèrement moucheté, son plumage
s'éclaircit ensuite progressivement en blanc : d'abord le ventre, puis les ailes. Les jeunes ont un
bec noir.
Chant : Cris rauques, peu mélodieux. Habitat : Oiseaux pélagiques parcourant l'hémisphère nord ;
présents en Atlantique, en mer du Nord, dans la Manche, en Méditerranée. Visibles en haute mer, ils se rapprochent des côtes en été (le seul site de nidification en France reste les Sept Iles,
côtes d'Armor). Rechigne à survoler les terres, mais longe les côtes de Bretagne Nord de façon tout à fait courante en été. Des individus égarés ou déviés par une forte tempête ont cependant été signalés à l'intérieur des terres. De telles observations restent très rares.
Comportements : Oiseau pélagique. Solitaire ou en groupes épars en
hiver, en énormes colonies l'été. Le fou de Bassan tire son nom de son comportement : il repère les bancs de poissons au vol, plongeant en piqué d'une hauteur de 30 mètres parfois. En approche
finale, il adopte une posture aérodynamique typique (à l'image d'un concorde : les concepteurs s'inspirèrent de cet oiseau pour la posture aérodynamique de l'avion !) lui permettant de rentrer
dans l'eau à 100km/h sans se blesser. Il plonge ainsi à 6-7 mètres de profondeur, sous le banc de poissons, avant de remonter vers la surface, traversant le banc au passage et capturant sa proie.
Lorsqu'il remonte à la surface, sa proie est généralement déjà engloutie ; d'où son nom de 'fou' attribué par les pêcheurs écossais, premiers observateurs de cet oiseau, surpris par ces plongeons
spectaculaires et à première vue insensés !
Vous pouvez voir ci-dessous une belle vidéos sur les coutumes des "Fous"
Les couples sont unis à vie, se formant vers 5-6 ans, lorsque l'oiseau devient mature. Durant leurs premières années, les jeunes sont des solitaires, grands
voyageurs. Ils profitent de cette période pour choisir une colonie, avant d'y revenir peu de temps
avant leur maturité, sur un site nommé 'club de rencontre'. Là, les jeunes y apprennent les règles de la colonie, avant de se trouver un partenaire parmi d'autres jeunes ou des veuf/veuves. Les fous de Bassan vivent durant l'été en société, utilisant des parades pour coder leur comportement. La plus connue est la parade nuptiale, témoignage touchant d'une profonde affection au sein du couple, et prologue à leur accouplement, mais aussi la parade
d'envol et de territoire (chaque fou possède son propre nid, et gare aux intrus !) Les jeunes passent leur première migration le long des côtes
africaines, de la Méditerranée à l'Equateur. Les adultes, eux, s'éparpillent au large, de préférence vers le nord de l'Ecosse. Vol : Envol lourd s'il n'est pas accompagné de vents porteurs. En vol, c'est un très bon planeur, capable de parcourir jusqu'à 200 km pour aller pêcher ! Il voyage de façon solitaire ou en groupes, on remarque alors la
formation de vols en V.
Nidification : Sur les îles un peu éloignées du continent, en colonies. Le fou a besoin d'une falaise pour son envol, ce qui devient un critère important pour la création de nouvelles colonies. La réserve des Sept Iles (côtes d'Armor) en accueille sur l'île Rouzic près de 25 000 couples (en 2012). Les couples s'y retrouvent dès la fin janvier/début
février, reprenant possession de leurs nids respectifs, monticules d'algues et de débris divers.
L'accouplement au sein de la colonie est synchronisé par la parade
nuptiale ; les premiers couples l'exécutant incitant les autres à les imiter.
La femelle pond un seul oeuf, courant avril/mai, qu'elle couve de ses grandes pattespalmées durant 40 jours. Le poussin éclot en juin, et va être nourri par ses parents pendant 12 semaines. Il acquiert d'abord un duvet blanc (5-6 semaines : aspect de 'peluche') avant que ne sorte son plumage noir de juvénil. A 12 semaines, le petit pèse jusqu'à 4 Kg. Il quitte la colonie et se
dirige vers la mer. Là, il devra y apprendre le vol, la pêche, la survie... Il reste en moyenne 2 semaines à la surface de l'eau, attendant de perdre ses réserves alimentaires qui le rendent trop
lourd pour l'envol. Le succès de reproduction reste médiocre : 80% des jeunes meurent lors de la première année. On peut estimer qu'en moyenne, durant sa vie, un couple donnera
naissance à 3 futurs adultes, les autres jeunes étant éliminés par la sélection naturelle.
Régime : Piscivore, de 400 à 700 g de poissons par jour ; les prises les plus classiques restent le maquereau, sprat, sardine...
Protection / Menaces : Le Fou de Bassan est une espèce originaire du Nord de
l'Ecosse, sa nidification en France remonte seulement aux années 1930. Depuis quelques années, une poignée d'individus tentent de s'implanter dans la région de Marseille. L'avenir nous dira si une telle expérience se verra couronnée de
succès...
Quelques images de la côte de granit rose et des 7 îles:
Le macareux moine, surnommé le perroquet de mer en raison de son bec tricolore, perd ses couleurs en hiver. En France, ses colonies se rencontrent en
Bretagne et principalement aux Sept-Îles, au large de Perros Guirec.
Le macareux moine, Fratercula arctica, est le plus petit des trois alcidés de Bretagne (30 centimètres). Le bec est triangulaire et
tricolore : bleu-gris à la base, rouge à la pointe, avec une ligne jaune de séparation. L'œil est entouré d'un cercle rouge et de zones bleu-gris, avec un filet noir vers l'arrière. Il a le
dos noir et le ventre blanc, mais seulement un capuchon et un collier noir, avec les joues grises. En hiver, ses couleurs vives disparaissent. Il est essentiellement piscivore et les
reproducteurs s'alimentent à proximité des colonies.
Comme le petit pingouin, le macareux moine se reproduit essentiellement sur les rives occidentale et orientale de l'Atlantique nord, et la Bretagne constitue la limite méridionale de son aire de
reproduction européenne.
Contrairement aux deux autres alcidés ( guillemot de Troïl et petit pingouin), le macareux pond son œuf unique au
fond d'un terrier qu'il creuse avec son bec et ses pattes, mais peut aussi s'installer dans des zones d'éboulis rocheux. Les terriers sont principalement situés sur les zones de rupture de
pentes.
Les oiseaux arrivent à proximité des colonies en mars. Les pontes s'étalent de fin mars à fin mai. L'éclosion se produit après cinq à six semaines d'incubation, et
le jeune reste au terrier pendant une quarantaine de jours avant de partir en mer. Si les ressources alimentaires sont réduites, la durée de séjour au terrier peut se prolonger de quelques
semaines. Les colonies sont généralement désertées fin juillet - début août. Cette reproduction hypogée rend les recensements bien plus complexes que pour les deux espèces précédentes,
difficulté accentuée dans certaines colonies par l'occupation de terriers par les macareux, les puffins et les lapins.
En période internuptiale, le macareux a une distribution plus pélagique que le petit pingouin et le guillemot de Troïl. Les
oiseaux bretons descendent probablement, comme ceux des colonies de mer d'Irlande, vers les eaux du golfe de Gascogne, certains individus atteignant la Méditerranée ou les îles Canaries.
Contrairement aux deux autres espèces, le macareux est très peu présent en hiver en mer d'Irlande et en mer Celtique. Les oiseaux des colonies plus septentrionales hivernent principalement en mer
du Nord.
Les Sept-îles, le dernier lieu de reproduction du macareux moine en France?
La population mondiale de macareux moines est estimée à 6 millions de couples, dont plus de 90 % en Europe, avec 2 à 3 millions en Islande.
En 1950, le macareux compte probablement plus de 7 000 couples, répartis entre au moins une quinzaine d'îlots de Bretagne, et essentiellement concentrés
aux Sept-Îles (Côtes-d'Armor). Vingt ans plus tard, il n'en reste qu'un peu plus de 900, et quelques colonies ont disparu. Le déclin se poursuit jusqu'au début des années 1980, et depuis lors les
effectifs tendent à se stabiliser aux Sept-Îles. Les dernières colonies du Finistère, en baie de Morlaix et à Ouessant, ne comptent plus que quelques couples et paraissent vouées à une
disparition inéluctable. Ne subsistera plus que l'archipel des Sept-Îles comme lieu de reproduction de l'espèce en France, limite méridionale de son aire de reproduction européenne.
Le déclin rapide des macareux moine en France au début du XXe siècle peut sans conteste être attribué pour partie à l'homme, et notamment aux massacres
effectués à des fins ludiques sur les colonies. Il semble cependant que des modifications de l'environnement marin dans l'Atlantique nord, liées au réchauffement des eaux jusqu'aux années 1950,
ont contribué à une large échelle à la diminution des populations de l'espèce.
La distribution plus pélagique du macareux le rend vraisemblablement moins vulnérable aux hydrocarbures que le guillemot de Troïl et le petit pingouin, sauf lorsque
la marée noire affecte les environs immédiats des colonies. Pour les mêmes raisons, l'impact des filets de pêche apparaît également moindre que pour les deux autres espèces. La principale menace
est liée à des modifications du milieu marin et de la disponibilité des stocks de poissons, conséquences de phénomènes naturels ou de la surexploitation des ressources halieutiques.
Essentiellement présente sur les îlots des Sept-Îles, la population bretonne de macareux sera de plus en plus vulnérable à tout impact extérieur, de type marée
noire ou modification des ressources alimentaires. De plus, le développement constant de la colonie de fous de Bassan sur Rouzic affecte progressivement les
macareux en empiétant sur leurs secteurs de reproduction. Et l'augmentation des effectifs sur Malban et la colonisation de Bono en sont peut-être une conséquence.
Sortie prévue pour l’automne chez ECHOÏD/ MUSIKALOUEST
FERGESSEN, c’est Michaëla, David et leurs deux guitares.Deux voix, deux plumes, sous un même nom. Après la
sortie de leur premier album, « Les accords tacites » en janvier 2011, ils choisissent la liberté et laissent Paris derrière eux pour écrire une nouvelle aventure folk-rock.
Direction le Grand Est, le « Far Est », qui donne aujourd’hui son nom à leur nouvel album. « Far Est » qui, sortira à l’automne 2013, avec l’aide du public, nombreux
à avoir soutenu ce projet musical bercé par la plateforme « KISS KISS BANK BANK». Enregistré aux côtés de Julien Rousset (Batterie), Pierre Bernard
(Basse), Stéphane Bonacci (Guitare électrique, Rhodes), Far Est, le nouvel album deFERGESSENse laisse découvrir avec ce premier clip, parfait départ aux
envolées futures.
FERGESSEN, écrivais-je juste après les avoir vus, c’est la rencontre d’un Dave Stewart aux faux-airs de Cantat et d’une Annie Lennox qui aurait mangé
Aretha Franklin. C’est beaucoup en une seule fois, mais pas plus que l’effet qu’ils produisent sur scène : l’unisson parfait des deux voix et deux guitares mêlées, une pop-rock
exigeante aux meilleurs accents d’un Marc Seberg, l’harmonie des textes et des mélodies que David et Michaëla ourdissent dans le calme de leur studio du
Ban-de-Sapt.
Après « les accords tacites », un album réalisé par Lionel Gaillardin en 2011, le duo a choisi de quitter Paris et d’Attendre le
bonheur dans l’autoproduction d’un « Far Est », deuxième album ciselé, variant entre l’anglais et le français sans se départir de ce qu’ils souhaitent tous les
deux : donner du sens et du rythme à un texte par son interprétation. Quand ils s’emparent de « The Wind », de Stevenson - a-blowing all day long, that sings so loud a
song - qu’ils en enregistrent une version acoustique devant une plaine des Vosges qui prend des airs d’océan de glace, on se dit qu’ils savent allier, comme en live, l’énergie des voix et du
jeu et la sensibilité du thème. A Child’s Garden of Verses and Underwoods.
Le cache-cache ne dure qu’un temps, celui de l’arrivée sur scène et du fleuve de son qui en découle : Michaëla, Antianeira moderne, bras nus, chevelure lâchée,
bracelet au biceps, prend l’auditoire à bras le corps, le charme et l’ensorcelle, ce qui revient au même. Mais David – heureusement pour lui – n’est estropié de nulle part et relève - avec un
flegme qui n’a de britannique que la musique qu’il joue - le défi de la Belle.
Les guitares sont épileptiques et coordonnées, les amants jouent d’une ronde qui les aurait menés au bûcher, en d’autres temps. Ils auraient pu choisir l’Islande ou
le Danemark (Aimer, dormir, encore aimer), ils ont pris les Vosges comme symbole d’une musique qu’il faut aller chercher mais dont on ne se relève pas sans être marqué au fer rouge.
Fergessen, prononcé à l’allemande, c’est oublier ou s’emporter : aucune chance qu’on oublie, toutes qu’on le soit, emporté. Jusqu’au far, Far-Est.
Laurent Cachard.
Fraîchement lauréat du projet « Pépinière », inscrit dans le cadre du dispositif « Multipistes en Grande Région » piloté par
l’Autre Canal et Vosges Arts Vivants, FERGESSEN bénéficie du soutien de l’Union européenne.
J'apprécie beaucoup ces ouvrages en trompe-l'oeil, très nombreux à Lyon et à Cannes.
Cette nouvelle fresque rend hommage à 250 personnalités françaises qui nous rendent fiers d'être de ce pays que trop de gens se complaisent à dénigrer en ce
moment...
Cette présentation sur le web est très agréable à consulter, que ce soit par thèmes ou par ordre alphabétique:
Pour son deuxième album Droit Dans La Gueule du Loup, Melissmell a choisi d’enregistrer des titres composés par Guillaume Favray, déjà auteur de deux titres sur
Ecoute S’il pleut. Il y a dans ce nouvel album des colères, des larmes, des splendeurs, des tristesses, des forces, des prodiges. Ce n’est pas un gentil disque de chansons sages. Dans Droit Dans
La Gueule Du Loup, Melissmell contemple la gueule cassée du monde sans détourner les yeux. Rage, sincérité, profondeur, compassion. Melissmell dévoile en format trio toute l’étendue de son talent
vocal. Elle est accompagnée par Matu au piano, et Daniel Jamet à la guitare, deux musiciens qui se sont révélés aux côtés de Mano Solo.
Il y a dans cet album des colères, des larmes, des splendeurs, des tristesses, des forces, des prodiges. Ce n’est pas un gentil disque de chansons sages. «
DansDroit dans la gueule du loup», Melissmell contemple la gueule cassée du monde sans détourner les yeux. Rage,
sincérité, profondeur, compassion.
En travaillant à ce deuxième album, elle n’a pas conservé ses propres chansons. Elle a décidé de ne chanter que les oeuvres de Guillaume Favray,
qui avait déjà signé deux titres
du premier album de Melissmell, « Écoute s’il pleut ». Pourquoi ? L’envie irrépressible de faire vivre des chansons qu’elle admire et qui, autrement,
resteraient au placard. « Cet album, c’est celui que Guillaume aurait pufaire, l’album qu’il aurait dû faire », dit Melissmell, admiratrice d’une écriture héritière de Jacques
Brel ou de Mano Solo.
Elle a enregistré avec deux musiciens au parcours éloquent : le pianiste Matu a joué plus de dix ans avec Mano Solo et a arrangé l’album Les
Années sombres (une référence majeure pour Melissmell et Favray) avant de partir avec Indochine, et le guitariste Daniel Jamet était dans la Mano Negra avant d’accompagner
lui aussi Mano Solo. Mais ces deux aînés (renforcés par Christine Ott aux ondes Martenot sur trois chansons) étaient aussi de vieilles connaissances : « Le hasard fait que
les premiers musiciens que j’ai rencontrés
en arrivant à Paris sont les musiciens de Mano Solo. »
Cela donne une étonnante cohérence à son parcours pourtant chaotique. « Je ne suis pas de la ville », dit-elle d’emblée. Elle vient d’un village d’Ardèche,
d’une famille « dans
laquelle le texte français est très présent ». Sa mère est fan absolue de Goldman, sa grand-mère adore Desproges, elles se partagent Brel, Coluche,
Brassens, Devos… « Toute
la variété française est passée chez moi », avant que Mano Solo et le punk lui retournent la tête. Dès lors, elle présente « tous les symptômes de la
fille qui va devenir artiste». Tant pis pour l’école. « J’ai fait tous les métiers imaginables quand on part de rien.Quand j’en ai eu assez d’être l’esclave apprentie d’un
patron, je suis partie sac au doset j’ai atterri dans la rue. » Elle chante sur les trottoirs en dormant dans le bois de Vincennes, passe un BTS sans avoir le bac, se fait peintre
en bâtiment et graphiste, conquiert son premier public dans les bars et dans les squats. « Et la vie m’a récompensédu travail et des risques que j’ai pris. »
Mélanie est alors devenue Melissmell, pour la mélisse qui, selon la tradition, soulage « les maux des femmes », pour Smells Like Teen
Spirit, pour le mélisme, pour « Mel is
Mel », pour le lys de mer fossile que l’on trouve dans le sous-sol de l’Ardèche… Et, pendant six ans, Melissmell a écumé les scènes avec quatre
musiciens rencontrés à
Strasbourg et, comme elle, nourris de rock et de rage. Avec eux, elle est devenue une référence. Son Aux armes mêlant Marseillaise et Internationale a
rappelé que la chanson
en France peut encore refuser la tiédeur. Et les concerts incandescents de Melissmell réconcilient amoureux du verbe haut et fervents de l’électricité.
Armée des mots de Guillaume Favray, elle arpente avec « Droit dans la gueule du loup » un territoire de mélancolies véristes et de poésie
noire. Elle l’avoue tout droit : « Il
s’agit de dire la vérité, quitte à se faire détester. » Mais c’est le plus sûr chemin pour conquérir les coeurs.
Droit dans la gueule du loup" Nouvel album de Melissmell disponible le 09 avril 2013. En tournée à partir d'avril + Café de la Danse le 25 avril 2013. Résa : http://bit.ly/Melissmellconcertparis + d'infos et date sur www.melissmell.fr
Manif sous tension ce dimanche contre le mariage gay...
En ce jour de Nème manifestation contre le travail des représentants du peuple, sous l'égide d'un certain nombre de factieux qui voudraient porter dans la rue leur
haine et leur homophobie, écoutez la chronique de François Morel sur France Inter:
Sébastien Tellier and Caroline Polachek (chanteuse du groupe Chairlift) joignent leur voix pour la première fois sur ce titre « In The Crew Of Tea Time »
donnant à entendre un duo tendre et irrésistible.
« In The Crew Of Tea Time » sort pour la première fois sur 45t (inclus le dub de Mr Dan) à l’occasion du Record Store Day le 20 avril 2013 ! Un
vinyle à ne pas manquer !
A. In The Crew Of Tea Time B. In The Crew Of Tea Time (Mr Dan's Wunderground Dub)
Illustration réalisée par Stéphane Manel
Pochette imprimée sur papier retourné, édition limitée de 650 vinyles
Le vinyle sera disponible pour la première fois le 20 avril dans toutes les boutiques participantes au Disquaire Day.
A cette occasion, Record Makers mettra également en vente, en avant première l'édition vinyle deluxe d’ « OutRun » de Kavinsky ainsi que le vinyle du nouvel
album d’Hypnolove « Ghost Carnival » ainsi que d'autres références de leur catalogue au Mila (2 rue André Messager 75018 Paris) qui se transformera en disquaire éphémère pour
l'occasion.
Acteur né le 12 novembre 1980 à London - Ontario (Canada).
Biographie de Ryan Gosling
Ryan Thomas Gosling est né à London, au Canada, le 12 novembre 1980. Il est acteur, producteur et
compositeur. Se destinant d’abord à une carrière de danseur, il est engagé à l’âge de 11 ans sur « All New Mickey Mouse Club », programme télévisé de chansons, diffusé
aux États-Unis, aux côtés de Britney Spears, Christina Aguilera et Justin Timberlake. Il enchaîne alors quelques apparitions dans des séries télévisées canadiennes et américaines puis obtient le rôle d’Hercule dans la série « Young
Hercules » de 1998 à 1999.
Il apparaît pour la première fois sur grand écran en 2001, dans le film Remember the Titans, où il incarne un jeune joueur de football américain dans la première équipe de virginie
accueillant des joueurs de couleurs noires. Il obtient également, la même année, le rôle d’un néo-nazi juif dans le film Danny Balint. En 2002, il se voit attribuer le rôle d’un étudiant meurtrier dans Calculs meurtriers puis d’un étudiant violent dans The Slaughter Rule. Il se retrouve de nouveau
dans la peau d’un étudiant tueur dans The United States of Leland, sorti en 2003. Le film
est présenté au Festival du cinéma américain de Deauville et au Festival de Sundance.
Il participe en 2004 à la bande son du film Wild Roomies puis partage l’affiche, un an plus tard, aux côtés de Naomi Watts et d’Ewan McGregor de Stay. En 2007, l’acteur incarne un substitut du procureur dans La Faille puis son rôle dans Half
Nelson lui vaut une nomination à l’Oscar du meilleur acteur. Il continue alors avec Une fiancée pas comme les autres, en 2008, dans lequel il incarne un jeune marginal ayant une
relation avec une poupée.
Changeant de registre, il devient, en 2009, chanteur et guitariste dans le groupe Dead Man’s Bones. Leur album figure parmi les quinze meilleurs albums de l’année
2009 dans le magazine Les Inrockuptibles. On le retrouve à l’affiche de Love and Secrets puis dans Blue Valentine où il incarne un père de famille dont le couple s’essouffle. Il remporte le Chlotrudis Award du
meilleur acteur.