23 Octobre 2014
A L'AUBE, LE CINEMA / NOUVELLE ANDRE OBADIA / JUILLET 2014 J’ai toujours été naïf. Je m’étais totalement assoupi dans la chaleur du soir, il faisait si bon allongé à l’abri de la dune de cette grande plage normande. J’avais besoin de récupérer de la veille...
En savoir plus4 Mai 2013
L’impossible vérité Seul, Se sentir seul au milieu de la foule, Dans une rue où tout le monde se bouscule, Où personne ne se voit, Dans une ville sans nom, Dans une ville sous le soleil, Avec un cœur en pluie. Seul, Et tout là-bas, la mer, La vaste étendue...
En savoir plus4 Mai 2013
Le déluge A mon premier rendez-vous J’avais le cœur dans les talons, A mon premier rendez-vous J’avais aux lèvres mille chansons. Mais le temps a passé, Impitoyable juge, Il a tout dévasté, C’était un vrai déluge. Je me suis défendu De ces trop vils désirs,...
En savoir plus6 Juin 2012
Un souffle léger Sens-tu le souffle léger de l’été qui revient ? Sens-tu le pas discret du nouveau Président ? Retrouves-tu ce calme qui fait tant de bien ? Va-t-on pouvoir enfin réapprécier le temps ? Il faut encore un pas, il faut encore un vote, Il...
En savoir plus1 Février 2012
Le train, la nuit… Cahotant et bruyant, le train va dans la nuit, et mon regard se perd dans un décor invisible, insaisissable, fugitif… Mon regard, comme ma pensée, vagabonde au hasard de l’imagination, à mi-chemin entre le rêve et la réalité. Ma tête...
En savoir plus27 Juillet 2011
Une aurore incertaine La forêt n’avait jamais été aussi épaisse, et j’avais beaucoup de mal à me frayer un chemin, car depuis longtemps je ne percevais rien qui aurait pu ressembler à un sentier. La rosée du matin rendait rafraichissant le contact avec...
En savoir plus17 Juillet 2011
Mon premier jour d’école J'avais six ans, et je me souviens encore de mon premier jour d'école, sous le soleil brûlant de l'Algérie. La première matinée s'était bien déroulée, et ma mère m'avait raccompagné en classe à 13h30. La cour de l'école me paraissait...
En savoir plus4 Juillet 2011
J’aimerais savoir pleurer encore… J’aimerais savoir pleurer encore… J’aimerais savoir douter encore… J’aimerais entendre le bruit des vagues, Faire que tout mon esprit divague… Revenir doucement vers le port… Regarder le passé sans remords… Déposer sur...
En savoir plus10 Avril 2011
A quoi bon que tu saches ! Une légère fumée s’échappe de mes oreilles, Je suis comme fatigué des travaux de la veille. Les verres de mes lunettes, embués par l’ennui, Ne laissent plus paraitre les beautés de la vie. L’impressionnant nuage des désirs inhumains...
En savoir plus5 Février 2011
LE VENT DU SOUVENIR Au Volant de sa petite voiture de sport, spéciale deux places Boris traversait les rues de la ville endormie. Dans ce petit matin, son âme triste et solitaire revoyait le chemin parcouru, et le bilan lui semblait bien maigre, de cette...
En savoir plus17 Décembre 2010
Il fallait que je sache En fait, lorsque je pris la décision de louer ce petit appartement, je n’avais pas encore bien compris tout ce qui me poussait à en arriver là. L’immeuble exhalait une odeur irrespirable, digne des égouts auxquels il semblait directement...
En savoir plus18 Octobre 2010
La solitude, la peur et le poète Un homme a peur. Seul, dans une rue déserte, il tressaille en apercevant son ombre, un homme a peur. Ses pas martèlent le pavé, et la nuit, sans pitié, renvoie l’écho troublant. Les maisons endormies sont bien trop silencieuses,...
En savoir plus17 Octobre 2010
Un hôtel particulier J’habite depuis trois ans, un hôtel de banlieue assez agréable et surtout très bien fréquenté. Le Directeur est un garçon charmant d’une quarantaine d’années qui n’a guère eu de chance en amour. Cinq fois il se maria, et cinq fois...
En savoir plus13 Octobre 2010
Dans la forêt d’Alienor Il était une fois, en des temps reculés, une sombre forêt que l’on appelait Alienor. A cette époque, le monde subissait une grande vague d’obscurantisme qui avait remplacé les civilisations évoluées, Il fallait suivre des chemins...
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