26 Février 2019
Il était une fois, dans un grand bois, une pauvre bûcheronne et un pauvre bûcheron.
Non non non non, rassurez-vous, ce n’est pas Le Petit Poucet ! Pas du tout. Moi-même, tout comme vous, je déteste cette histoire ridicule. Où et quand a-t-on vu des parents abandonner leurs enfants faute de pouvoir les nourrir ? Allons...
Dans ce grand bois donc, régnaient grande faim et grand froid. Surtout en hiver. En été une chaleur accablante s’abattait sur ce bois et chassait le grand froid. La faim, elle, par contre, était constante, surtout en ces temps où sévissait, autour de ce bois, la guerre mondiale.
La guerre mondiale, oui oui oui oui oui.
J.-Cl. G
A travers le pays souffle un air d'antisémitisme, et l'incroyable livre de Grumberg vient nous en parler sans jamais utiliser les mots de la honte...
Les 105 pages de ce conte marquent le coeur et font du bien à l'âme! Chaque phrase est construite, pesée, mesurée, et nous fait revivre l'histoire, avec des gens qui n'étaient pas préparés pour l'amour, et qui le découvrent dans les doigts d'une enfant jetée d'un wagon par son père, parce que la maman n'a plus assez de lait pour la nourrir, assez de lait pour lui permettre d'atteindre la fin d'un voyage de douleur et de haine.
Merci à l'auteur pour cette leçon d'humanité.
Je vis le temps béni de la retraite!
J'ai retrouvé le temps de penser et de réfléchir.
J'aime beaucoup partager, aussi, au delà de quelques écrits personnels, j'essaie de vous informer des évènements et des sujets qui me plaisent...cela va de l'actualité politique, de l'art, du cinéma en passant par
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