7 Septembre 2014
J'ai tenté d'imaginer la lettre (elle écrit beaucoup!) que Valérie Trierweiler aurait pu adresser à ses compatriotes:
"Françaises, Français,
Je sais que vous ne m'avez pas beaucoup aimée lorsque mon François m'a installée à l' Elysée, mais en ce moment, j'ai très envie de vous dire merci!
Merci pour votre naïveté et surtout merci pour votre générosité. La vente de mon livre va m'assurer mes arrières, vous direz que c'est normal pour une histoire de fesses, mais cela me rend heureuse. Je me sens plus importante que la France, et mes paroles sont devenues plus crédibles que l'Evangile. Heureusement que Ségolène n'avait pas sorti de livre lorsque je lui avais emprunté son mari, cela aurait gâché l'effet de ma bombe médiatique, encore que je crois que je ne risquais pas grand chose en tablant sur votre voyeurisme et sur votre goût pour les relents d'égoûts.
Mais comprenez-moi, c'était mon devoir de journaliste de vous informer de mes vérités sentimentales. Je travaille d'ailleurs dans un journal de haut niveau qui m'a soutenu dans mon match contre le vilain Président.
Vous n'avez pas à rougir de votre passion pour moi, même les américains veulent publier mon ouvrage. J'ai vraiment bien tricoté.
Oui vraiment, merci à tous pour ce moment de grandeur nationale, beaucoup en rêvent, moi je l'ai fait.
Votre Valérie qui vous aime. "
Je vis le temps béni de la retraite!
J'ai retrouvé le temps de penser et de réfléchir.
J'aime beaucoup partager, aussi, au delà de quelques écrits personnels, j'essaie de vous informer des évènements et des sujets qui me plaisent...cela va de l'actualité politique, de l'art, du cinéma en passant par
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