“This Is Monday” , Ca se passe le Lundi à 20h au Comedy Club et la Participation est LIBRE!!!
Reprenant le créneau des célèbres Lundi de Remy Kolpa Kopoul, La Teamzic et Ovastand s'associent pour créer un rendez-vous hebdomadaire au cœur de Paris : This Is Monday!
Pour la dernière de cette 1ere saison ( RDV à la rentrée pour le 2eme) , Honneur au Blues, aux voix, à la Motown A cappella et à la bonne humeur avec OPUS JAM et BOBBY & SUE
Leurs chansons transmettent l'esprit du blues, celui qui vous écorche l'âme en vous câlinant le corps. Sue possède une voix incroyable d'authenticité, à la sensualité canaille, quelque part entre Mamie Smith et Billie Holiday. Au piano ou à la guitare, Bobby balance un swing jazz réjouissant et mêle parfois sa voix à celle de Sue. Bobby zappe les artifices et s’appuie sur sa seule dextérité instrumentale pour mettre en évidence la suavité envoûtante de Sue, qui use d’une gouaille avec juste ce qu’il faut de canaillerie pour nous ensorceler. Leur répertoire au souffle jazzy lorgne vers la soul et se teinte d’un brin de country mais reste toujours trempé dans l’encre bleue du blues originel.
THIS IS MONDAY : L’idée est née d’observations et de constats des deux équipes de La Teamzic et d’Ovastand:
-La difficulté qu’ont les artistes dit Indé à se produire dans un lieu de qualité sur Paris tout en étant rémunérés
-L’ accès au plaisir de la musique live n’est pas accessible à toutes les bourses ! D’où l’idée de participation libre. L’entrée n’est pas gratuite, parceque la musique live ne doit pas l’être, mais chacun donne ce qu’il peut même si ce n’'’est qu’un euro...
Ceci étant établi, les Soirées This Is Monday pouvaient naitre avec la participation du Comedy Club!!!
La Teamzic et Ovastand ont dans leur ADN commun l'accompagnement d'artistes indépendants dans leur professionnalisation, pour le disque et pour la scène. Ces deux structures mettent en avant dans leur programmation le plaisir de jouer live, la diversité musicale et l'émergence artistique. Ces soirées viseront aussi à donner aux artistes « en développement » une visibilité qu'il est de plus en plus difficile d'avoir sur la capitale.
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